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LITERATURA E RADIU: Sheila CONCARI X L'affreux pastis

L'affreux pastis de la rue des merles

Emission du 26 Mai 2003

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My 1 & only L

9 XII 2002

Je suis obligée de vous parler
De la souffrance intérieure
Où je suis tombée
I find words i never thought before
Après la dernière fois que vous m’avez donné
Le secours de la religion.
And my body’s left off shore
Car, encore une fois,
Vous m’avez laissée en suspense
Si c’est dieux ou le diable
Time passed and time future
Qui je sens si proche.
Si c’est le diable, toutes les prières
I feel the chill from feet to knees
Où j’ai mis mon cœur depuis 37 ans,
Ne serviront à rien.

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X life

July 7th 2003

Je la voyais belle.
He comes to me, he pierce my breast,
he takes my heart, he goes away.
And in his hands he keeps
my deep red heart.
That’s why i have no heart.
Indifférente, fermée, inappétente,
je ne sens rien, je suis inconsciente.
Indifferente, non sento piu niente. Vidée, usée,
pendue dans ton sordide miroir,
je me vois énorme larme noire.
Je me vois Et, au delà du noir, la tache d’un
rouge foncé, fade ;
le blanc vague et lointain.
Noire. Noir.
Est-ce que le basalte est noir ?

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Yamina

Et Yamina monte l'escalier en sabots
L’avidité est néfaste et ne sert a rien. Pourquoi ai-je été avide et ai-je loué deux chambres au lieu d'une comme nous avions pris l'habitude à chaque année scolaire ?
Peut-être pour aider mon époux pour qu’il ne remarque plus l’augmentation de la facture du téléphone !

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Wardia, une nouvelle de Maram al-Masri

La première fois que je l’ai vue, je me suis réjouie du fait que mon fils, qui est sorti de mon ventre il y a environ dix-sept ans, soit devenu un homme. Mon Dieu ! Comme si cela s’était produit hier, seulement hier ! Mes souvenirs avec lui sont encore très vifs, comme les souvenirs de toutes les mères qui sont toujours pleines de l’odeur du talc, des couches, du sourire et du premier pas.

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MARAM AL-MASRI: un parè di Jean PORTANTE

Maram al-Masri à la Kufa, le 16 mars 2004.

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MARAM AL-MASRI: un articulu criticu publicatu in u Times

THE TIMES SATURDAY AUGUST 28 2004
POETRY MICHAEL BINYON
A bonfire of taboos

A RED CHERRY ON A WHITE-TILED FLOOR BY HARAM AL-MASSRI Bloodaxe
£8.95; 95pp
ISBN 185224 640 5
ti £7.00 (p&p 99p) 0970 1608080

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Dite à u ventu

Dite à u ventu
di stancià,
à mè, ùn mi piace u ventu.
Hè capace
cum'è una donna ghjelosa
d'incirlì i mo capelli
quandu vò
à scuntrà
quellu chì mi aspetta.

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Aghju decisu

Aghju decisu
di fà la finita,
è di spreme in a mo manu
issu brisgiolu
chì
batte in
un scornu
di u mo pettu.

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Ùn hè ghjuvatu nunda

Ùn hè ghjuvatu nunda
nè e mo rote
chì sò nove,
nè i sguardi
tenneri,
ch'o li facciu.
Ùn sò ghjuvate mancu e parolle di amore,
Nè e lezziò di Ovidiu.
Nè a mo capillera nera,
nè u frescu di a mo pelle di sete.
Ùn hè ghjuvatu nunda
nè u mo slanciu
nè a mo dulcezza
nè u mo surrisu nè u mo piantu
anu sappiutu intennerisce
u core seccu
di l'amore.

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