Rose d’or
Puesia
Rose d’or
O! Dieu, que me voici changé!
Plus blême que le naufragé
Qui lutte et ne peut atterrir,
Je ne puis vivre ni mourir.
Le mal en mon cœur s’est logé,
Nul baume ne peut l’en guérir,
Les ennemis m’ont outragé,
Les ans sont venus me flétrir.
O! Dieu, que me voici changé!