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Francese

Métempsychose

Sa tête tomba à jamais en juin
La tentation d’exister se reflète
Dans l’image de la mort des rencontres des gens et des dieux
Des passions blanches
Je ne sentais aucune hâte et en silence je me réjouissais de mon amour
Le bonheur d’une éternité cassée en morceaux
Et pourtant assez froide sur son visage céleste
Sont remplies de charme les racines de l’amour terrestre
Il vit mon enfance
Le sommeil appelle ses progénitures envers le devenir
Ce Dieu. J’ai essayé lui serrer sa main.
Il n’a pas voulu la prendre.
Encore plus d’eau sur Pluton ça peut être un scénario de la même
façon des étrangers en paradis il y allait à la merveille
Que le cerf brille parfois lorsque je rêve le paradis à jamais perdu de
l’enfance lointaine
Un soir d’été lorsque j’y pense...
Ou très tôt dans le matin
Il avait compris de la côte de qui sera l’avenir
Il continua à monter d’invisibles escaliers
S’éprit à la folie du soleil caché dans sa peau
L’accent légèrement méridional de la Belle au bois dormant et l’idée
de changement.

Craiova, le 1er août 2004