Marie Susini ou l’apologie du désespoir

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Texte: 

Marie Susini ou l’apologie du désespoir
Introduction de M.T.Dambacher

 

Le 22 août 1993, une grande dame discrète, s’en va… C’est Marie Susini.

Avec cette auteure qui vient de mourir, « la Corse qui a pour emblème une tête de Maure avait le cheveu blond et l'œil vert des femmes, dans lequel les amoureux, chez Virginia Woolf, cherchent le reflet de la vérité. Déjà, par son physique et sa forte présence qui dominait les débats du jury Femina, elle prévenait du fallacieux, des apparences … Il a fallu son immense talent pour que l'île accède à la littérature française où elle restera, grâce à elle, la dernière représentante de cette noblesse, naguère encore associée à notre terre. » (1)….
(1) : Angelo Rinaldi : « La fée au chapeau de clarté » in Le Nouvel Observateur Hebdo, n°1504, 02.09.1993

Marie Susini ou les mystères de la première écrivaine corse
Sous ce titre, Laure Filippi-Leonetti rend hommage à Marie Susini (Corse-Matin, mardi 11 avril, sous le titre ).
Dans cette même page, un intéressant compte-rendu de Françoise Marie Renucci évoque « L’avant-garde de la littérature corse », objet du séminaire « Franchir la frontière littéraire » (ENS, rue d’Ulm à Paris)